Archives
Archives des activités du groupe Edith
| Edith
Ce livre rend compte, en suivant un fil chronologique largement illustré, des activités d’Edith.
Edith est un groupe de recherche sur la microédition et l’édition indépendante initié par l’ésadhar, et dont les étudiant·es et diplômé·s sont les principaux acteur·rices : ils y contribuent par leur approche des problématiques soulevées, par leur remise en cause, à travers la pratique, des hypothèses de travail.
La forme du livre, qui imbrique plusieurs niveaux de restitution, de mise en page, fut inspirée par un recueil relié (et totalement obsolète) de photocopies du manuel d’un célèbre logiciel de traitement de l’image, découvert dans les collections de l’une des bibliothèque de l’école d’art.
| 2016 | |
Delta total edition
| Topologie et synchronicité de l’expérience artistique
Delta total l’édition est l’espace d’une expérience en plus d’un programme d’articulation de workshops dont l’objectif est une recherche des formes qui s’activent pédagogiquement à partir des amplitudes ou des écarts (terrain, niveau, intensité) et de leurs rapports. Une recherche à plusieurs entrées : forme x expérience x terrain x pédagogie.
| 2014 | |
Atelier territoires singuliers
| L’Art en friche
Le vent, le froid ou la pluie nous ont souvent accompagnés sur ces routes presque désertes, dans ces lieux souvent abandonnés. Mais descendre les 400 marches du site Aquacaux en croisant le regard des chèvres accrochées à la falaise, découvrir les lettres du paquebot France oubliées dans un hangar portuaire, pénétrer dans la Villa Montesquieu ou monter dans les tours de Jumièges restent des expériences inoubliables…
S’il s’agit d’expériences, elles ne sont pas reconductibles, les lieux ont disparu, le temps a changé, mais surtout, ces productions sont les expressions de sujets singuliers. Il s’agit bien pourtant ici d’une édition de recherche. Elle livre les résultats de tentatives, éminemment subjectives, de connaissance par l’immersion, la plongée, l’expérience sensible, formulées dans les matériaux et avec le langage des plasticiens. Paradoxalement concrets, ces objets sont les éléments discrets d’une possible connaissance par l’art. Ils invitent à une pratique en retour, une pratique des lieux, de la mémoire, du sensible, une pratique renouvelée du monde.
| 2015 |